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Die adnominalen (attributiven) Verwendungsmöglichkeiten von temporalen und lokalen Adverbien im Deutschen werden untersucht und mit denen aus vier anderen europäischen Nachbarsprachen – Englisch, Französisch, Polnisch, Ungarisch – verglichen. Gezeigt wird, wie diese Sprachen unterschiedliche Anbindungsstrategien nutzen, um Adverbien in attributiver Funktion einsetzen zu können. Drei solcher Strategien werden unterschieden: Juxtaposition, Adjektivierung und formale Verknüpfung. Die Anbindungsstrategien sind in den Vergleichssprachen unterschiedlich verteilt und in unterschiedlichem Maße dominant. Verfügt eine Sprache über zwei oder mehr Anbindungsstrategien, so können diese in Abhängigkeit von der semantischen Teilklasse des Attributs mit verschiedenen semantischen Beschränkungen und Effekten korreliert sein. Diese bezeichnen wir als temporale bzw. lokale Kompatibilität, Persistenz und Oppositivität. Es lassen sich z.T. übereinzelsprachlich bestimmte Form-Funktions-Korrelationen zwischen Anbindungsstrategien und semantischen Beschränkungen bzw. Effekten feststellen. So können adjektivische und formal verknüpfte Attribute Persistenz und Oppositivität kodieren, juxtaponierte dagegen grundsätzlich nicht.
Am Anfang war die Lücke
(2012)
Dieser Beitrag versucht, eine Einschätzung der Einsatzmöglichkeiten für automatische Analysemethoden aus der aktuellen computerlinguistischen Forschung für die sprachvergleichende Grammatikforschung vorzunehmen. Zur Illustration werden die Ergebnisse einer computerlinguistischen Studie für die vergleichende Untersuchung von Spaltsatzkonstruktionen in verschiedenen Sprachen wiedergegeben und ausführlich diskutiert. Der Korpuszugang erfolgt in diesem Rahmen auf Basis einer vollautomatischen syntaktischen Analyse, die dann noch zusätzlich durch eine statistische Wortalignierung kontrastiv auf Parallelkorpora beleuchtet werden kann. Neben der Vorstellung der bereits bestehenden automatischen Annotationsmöglichkeiten, die in meinen Augen vielversprechende Wege für den sprachwissenschaftlichen Korpuszugang eröffnen, ist die Hoffnung, dass dieser Beitrag durch die abschließende Diskussion zu dem Bewusstsein beiträgt, dass eine tiefere, organischere Verbindung der beiden sprachwissenschaftlichen Disziplinen möglich ist: dann nämlich, wenn der Korpuszugang nicht mit statischen, vordefinierten Werkzeugen erfolgt, deren Verhalten durch die Grammatikforscherin oder den Grammatikforscher nicht beeinflusst werden kann, sondern wenn ein interaktiver Werkzeuggebrauch erfolgt, der von den vielfältigen Anpassungsmöglichkeiten mit den zugrunde liegenden maschinellen Lernverfahren Gebrauch macht.
This chapter explores the Linguistic Landscape of six medium-size towns in the Baltic States with regard to languages of tourism and to the role of English and Russian as linguae francae. A quantitative analysis of signs and of tourism web sites shows that, next to the state languages, English is the most dominant language. Yet, interviews reveal that underneath the surface, Russian still stands strong. Therefore, possible claims that English might take over the role of the main lingua franca in the Baltic States cannot be maintained. English has a strong position for attracting international tourists, but only alongside Russian which remains important both as a language of international communication and for local needs.
Ce chapitre s’intéresse à la façon dont les changements de langue dans des réunions sont gérés par les parties co-présentes qui les traitent comme posant des problèmes de participation, en s’orientant vers le fait que le choix d’une langue particulière peut avoir comme effet d’augmenter ou bien de diminuer la participation de certains ou de tous les membres co-présents. Le choix d’une langue plutôt que d’une autre est étudié comme répondant à un problème des membres et comme une décision prise par eux, exhibant la manière dont ils s’orientent vers ses conséquences et dont ils élaborent sa justification et légitimité. Dans ce sens, le choix de l’anglais ou de plusieurs langues co-existantes voire alternantes n’a pas en soi une valeur positive ou négative en termes de participation, d’adéquation ou d’efficacité, mais a une valeur qui est située et occasionnée, dépendant des formats spécifiques de participation, des compétences reconnues localement et de la manière dont l’interaction est organisée. Afin d’explorer de manière systématique cette articulation entre choix de langue et participation, nous allons nous pencher sur un phénomène particulier et récurrent. Il s’agit de l’annonce qui projette un changement de langue et qui peut prendre une forme telle que “now we will switch into English so that you can participate”. Nous l’analyserons en tenant compte de la position séquentielle où elle est produite, de son format, de la façon dont elle est adressée à une partie ou à la totalité des co-présents, et de l’action spécifique qui y est accomplie. Nous étudierons aussi la manière dont elle est reçue, ses effets sur le cadre de participation, ainsi que les catégorisations qui en découlent. On montrera ainsi la relation de configuration mutuelle qui s’établit entre choix de langue et cadre de participation. Nos analyses seront développées sur la base de plusieurs corpus de rencontres professionnelles internationales enregistrées en audio et en vidéo sur plusieurs terrains. Les données vidéo nous invitent à considérer non seulement la dimension linguistique des cadres participatifs et des changements de langue, mais aussi leur organisation multimodale : l’organisation incarnée (embodied) du code-switching n’a pratiquement pas encore été explorée et la participation incarnée reste sous-étudiée, ainsi que son lien avec des espaces interactionnels spécifiques. Ce chapitre montre que les détails multimodaux sont cruciaux pour la compréhension des liens entre plurilinguisme et participation en tant que dynamiques occasionnées, contingentes et émergentes.