Z1: Sprache im öffentlichen Raum
Refine
Year of publication
- 2020 (5) (remove)
Document Type
- Article (3)
- Part of a Book (2)
Has Fulltext
- yes (5)
Is part of the Bibliography
- yes (5)
Keywords
- Deutsch (2)
- Mundart (2)
- Sprachvariante (2)
- Alltagssprache (1)
- Bairisch (1)
- Bayrisch (1)
- Beurteilung (1)
- Deutsche (1)
- Dialektbewertung (1)
- Dialektkompetenz (1)
Publicationstate
- Zweitveröffentlichung (5) (remove)
Reviewstate
- Peer-Review (3)
- (Verlags)-Lektorat (2)
Publisher
Historiquement, les variétés germaniques de la Moselle-Est (ancienne région Lorraine) font partie du continuum dialectal de l’allemand. Après la Seconde Guerre mondiale, leur utilisation (y compris celle de l’allemand standard) a été fortement réprimée et la francisation résolument poursuivie. Depuis quelques décennies maintenant, des efforts ont été faits pour élever les dialectes de la Moselle-Est au statut de langue indépendante afin de marquer une distance par rapport à la langue allemande, de permettre leur identification et de pouvoir les réutiliser. Le paysage linguistique donne une bonne indication de la manière dont coexistent les différents groupes linguistiques et une indication sur le statut de leurs langues. Dans le cadre d’une analyse qualitative, les contextes d’apparition, les fonctions et les auteurs des éléments linguistiques visibles dans l’espace public en allemand standard et dialectal seront discutés pour la Moselle-Est. Il s’avère qu’ils constituent des exceptions notables, distribuées de manière significative. L’allemand (standard) apparaît dans les inscriptions historiques ainsi que dans le domaine des relations internationales, et est donc implicitement exogénéisé. En revanche, on trouve le dialecte (appelé « platt ») dans des contextes ayant des références locales et portant sur des aspects identitaires.
In diesem Beitrag werden neue, repräsentative Daten zur arealen Variation in Deutschland vorgestellt, die das Leibniz-Institut für Deutsche Sprache im Rahmen der Innovationsstichprobe des Sozio-ökonomischen Panels (SOEP) des Deutschen Instituts für Wirtschaftsforschung (DIW) in der Befragungsrunde 2017/2018 erhoben hat. Zum einen wurde die Dialektkompetenz abgefragt; überindividuell zeigt sich hier das bekannte Nord-Süd-Gefälle, beim individuellen Grad der Kompetenz der Dialektsprecher gibt es aber regional nur geringe Unterschiede. Zum anderen wurden die Bewertungen von Dialekten erhoben; hier werden Norddeutsch und Bayerisch besonders positiv, Sächsisch hingegen besonders negativ bewertet, wobei regionale Muster eine Rolle spielen. Auffällig ist ferner die bundesweit sehr einheitlich positive Bewertung des Hochdeutschen.
Die diesjährige Jahrestagung des Leibniz-Instituts für Deutsche Sprache in Mannheim mit dem Titel „Deutsch in Europa“ zielte auf eine Perspektivenerweiterung ab. In zwölf Fachvorträgen, neun Projektvorstellungen im Rahmen einer Methodenmesse und einer Podiumsdiskussion wurden sprachpolitische, grammatische und methodische Aspekte des sprachlichen Nebeneinanders in Europa, des Sprachvergleichs und des Deutscherwerbs diskutiert.